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Proust, le concert retrouvé

Tanguy de Williencourt

Duos - Paru le 19 mars 2021 | harmonia mundi

Hi-Res Livret Distinctions Gramophone: Recording of the Month
Le 1er juillet 1907, Marcel Proust invitait ses amis à un concert privé au Ritz. Une lettre qu’il écrivit deux jours plus tard à Reynaldo Hahn nous en révèle tout l’éclectisme. Les compositeurs modernes y dialoguent avec le monde d’hier et celui de jadis : Fauré, Wagner, Schumann, Chopin et Couperin. Recréant pour nous cette soirée où les époques se mêlent et abolissent le temps, Théotime Langlois de Swarte et Tanguy de Williencourt font revivre l’intimité des salons parisiens du début du XXe siècle et nous plongent dans cet univers musical si fécond qui imprègne toutes les lignes d'À la recherche du temps perdu. © harmonia mundi
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Wagner/Liszt : Transcriptions

Tanguy de Williencourt

Piano solo - Paru le 13 octobre 2017 | Mirare

Hi-Res Livret Distinctions 5 de Diapason
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Beethoven : Bagatelles

Tanguy de Williencourt

Classique - Paru le 7 février 2020 | Mirare

Hi-Res Livret Distinctions 5 de Diapason
C’est un éclairage inédit de Beethoven que le pianiste Tanguy de Williencourt nous offre avec des pièces d’une durée parfois webernienne avant la lettre, entre trente secondes et deux minutes. De multiples aspects de la fantaisie et de la fulgurance beethovéniennes, comme le journal intime d’un être constamment visité par l’inspiration. Le français étant à la mode en ce temps-là, les Bagatellen, tantôt sans importance tantôt érotiques, si l’on s’en tient au strict vocabulaire français, sont aussi une dénomination (plus qu’une forme) musicale qui jalonne toute la carrière de Beethoven. Mais le compositeur les appelait familièrement « Kleinigkeiten » que l’on pourrait traduire par « petites choses ». Pièces charmantes ou dédicaces (Für Elise) qui prennent une signification presque prophétique en 1825, alors que le langage de Beethoven voit résolument vers l’avenir. © François Hudry/Qobuz
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César Franck: Djinns, Variations symphoniques, triptyques pour piano

Tanguy de Williencourt

Classique - Paru le 6 mai 2022 | Mirare

Hi-Res Livret Distinctions Choc de Classica
Le pianiste français Tanguy de Williencourt apporte une nouvelle pierre à l'édifice commémoratif du bicentenaire de la naissance de César Franck, avec le présent album regroupant avec bonheur les œuvres pour et avec piano du compositeur belge. Si l'on ne manque pas de bonnes versions des œuvres les plus connues, la redécouverte des Djinns est une heureuse surprise et justifie à elle seule de s'arrêter sur ce nouvel enregistrement. Tanguy de Williencourt explique dans le livret combien la musique de César Franck l'avait saisi lorsqu'il était enfant. Avec ce troisième enregistrement chez Mirare, il s'impose de plus en plus comme une des figures marquantes du piano français actuel. On peut s'étonner à bon droit de la quasi-disparition des Djinns, au profit des seules Variations symphoniques. Créé, comme Le Chasseur maudit, aux concerts d'Angers sous la direction de l'auteur, ce poème symphonique pour piano et orchestre écrit sur le poème éponyme de Victor Hugo met en scène des personnages maléfiques, les djinns, aux prises avec les forces du Bien donnant une intention morale, voire philosophique, à l’œuvre de Franck. Ce faisant, ce dernier invente une forme nouvelle entre le poème symphonique tragique de Liszt et le concerto pour piano de facture classique. Il aura pour descendance des œuvres comme la Symphonie cévenole de Vincent d'Indy ou encore la Fantaisie pour piano et orchestre de Claude Debussy. Le jeu clair, la sonorité puissante et incarnée de Tanguy de Williencourt font merveille dans les œuvres réunies ici, tant en solo avec Prélude, Choral et Fugue, un des chefs-d’œuvre du compositeur liégeois, le lumineux Prélude, Aria et Final et les deux œuvres concertantes accompagnées avec ferveur par Kristiina Poska à la tête de l'Orchestre symphonique des Flandres. © François Hudry/Qobuz