Jodyline Gallavardin

Son premier disque, ‘Paradis perdus’, pensé comme un refuge à l’agitation de notre époque, vient d’enthousiasmer la critique : Choc de Classica, sélection du Monde et de Qobuz… A travers sept compositeurs, ce disque dessine, par petites touches, le portrait d’une artiste originale, curieuse et passionnée, au jeu emprunt de poésie. Titulaire de deux masters du CNSM de Lyon, l’un en piano avec Marie-Josèphe Jude, l’autre en musique de chambre avec Dana Ciocarlie, Jodyline Gallavardin a suivi aussi les conseils de Rena Shereshevskaya à Paris. Elle décide ensuite de partir explorer d’autres horizons musicaux, en particulier en Italie à l’Académie d’Imola, puis en Suède auprès de Julia Mustonen-Dahlkvist (qui conseille aussi un certain Jean-Baptiste Doulcet). Elle s’impose aujourd’hui comme l’une des meilleures pianistes françaises de sa génération. Venez la découvrir dans l’écrin du Musée Guimet, dans un programme qui mêlera certains titres de son disque, et d’autres oeuvres qu’elle affectionne…